jeudi 26 juillet 2012

Echappée belle : Château de Vallin (fin).

...la « cour des écuries » s’offre à nous, ceinte d’un mur percé de nombreuses meurtrières et qui réunie les communs dont une remise à calèches, les écuries et un bassin à chevaux.
Le château est entouré d’environ 4 hectares de parc, bois et allées, dont des cèdres du Liban  plusieurs fois centenaires.

Dans le corps principal, nous visiterons : le hall des trophées,

le salon néo-gothique,

la salle à manger romantique entièrement recouverte de fresques, agrémentée d’une cheminée et d’une cascade en pierre de tuf


ainsi que du salon de compagnie Louis XVI.
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mercredi 25 juillet 2012

Echappée belle : Château de Vallin (1).

Dimanche 22 juillet 2012.


Direction Saint Victor de Cessieu dans le Dauphiné à une soixantaine de kilomètres de Lyon.

Le château de Vallin fut construit au XIVe siècle par la famille du même nom.
Il fût agrandit au XVIIe siècle.
Pillé et détruit en partie pendant la Révolution, il fût restauré dès 1794 par Laurent de Vallin. Il a appartenu à la même famille pendant 6 siècles puis par succession aux familles de Virieu, Lastic et Bonald. Acheté en 1991 par un passionné, il revit au gré des restaurations.

L’entrée principale se faisait par l’allée des tilleuls longue de plus de 300 mètres bordée de 70 arbres pour arriver dans la « cour d’honneur » en passant les grilles en fer forgé d’époque Louis XVI – Directoire 


et où se trouve la chapelle qui date du XVIIIe siècle, adossée à une tour. 


Passant par le porche du corps de logis principal qui date également du XVIIIe siècle,

rattaché à la partie plus ancienne qui date du XIVe siècle avec sa tour ovale du XIIIe – XIVe siècle, 

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vendredi 13 juillet 2012

Escapade Arlésienne. Le musée antique (2).

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Le théâtre : Le mur de scène était richement décoré de colonnes et de niches dans lesquelles se trouvait : l’autel aux cygnes,  

la statue monumentale d’auguste (voir article précédent),  la Vénus maintenant au Louvre

et les danseuses.



Le cirque : mesurait 450 mètres de long et 101 mètres de large pour une capacité de 20000 personnes.

Les course de chars se déroulaient sur une vaste piste, séparée en deux par un mur (la spina) décoré de sculptures, avec un obélisque installé au début du IVe siècle et qui orne aujourd'hui la place face à l'hôtel de ville                                                                                                                                                          .                                                                                                                                                        
L'amphithéâtre : 


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mercredi 11 juillet 2012

Escapade Arlésienne. Le musée antique (1).

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Jeudi 12 avril 2012.

Aujourd’hui, nous resterons à Arles pour la visite du musée Antique qui se trouve à quelques minutes de marche de notre nid douillet.
Musée qui se situe en bout du cirque romain et qui regroupe les objets archéologiques découvert sur le sol arlésien et aux alentours, témoins des origines antiques de la Provence en un parcourt chronologique allant de la Préhistoire, 2500 av. J.-C. à la fin de l’Antiquité, VIe siècle.




La protohistoire : Des Grecs s’installent dans la ville indigène créée dés le début du Vie siècle av. J.-C.          

La cité romaine : En 46 av. J.-C., la ville est élevée au rang de colonie par Jules César :         

Les portraits impériaux : Auguste, 

                                                     Buste d'Adrien.

Les stèles des magistrats municipaux,

attestent de la profondeur et de la rapidité de la romanisation du pouvoir local et de l'organisation sociale de la cité.
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vendredi 6 juillet 2012

Escapade Arlésienne. Abbaye de Montmajour. (fin).

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Le réfectoire est en partie aménagé dans le rocher et l’escalier à vis menait au dortoir.

Le monastère Saint-Maur a été construit de 1703 à 1719, puis après un incendie de 1726 à 1728 et enfin de 1747 à 1776 ce qui donna au monastère sa physionomie définitive avec ses seize travées en façade.


La basse-cour offre un point de vue sur les marais asséchés en 1642 et sur les rizières au abord d’Arles.

La tour Pons de l’Orme commencée en 1369, témoigne de la mise en défense de l’abbaye lors de la guerre de cent ans.

Ses 26 mètres de hauteur, offre un large panorama qui permet de mieux appréhender le site naturel d’origine, ainsi que la diversité complexe des bâtiments. Les tombes rupestres prennent toutes leurs significations depuis la terrasse.

A l’écart ce trouve la chapelle Sainte-Croix qui date de la fin du XIIe siècle.

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mardi 3 juillet 2012

Escapade Arlésienne : Abbaye de Montmajour. (1)

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Après le déjeuner, nous quittons Arles pour l’abbaye de Montmajour qui ce situe sur un îlot rocheux de quarante mètres émergeant des anciens marais. Le mont Majour du latin «major» (plus grand) où se fixe au Xe siècle une communauté de moines bénédictins. Ils édifient au milieu du XIe siècle la chapelle Saint-Pierre, (fermée à la visite pour cause d’une restauration)


puis d’une église abbatiale où sera conservée dans sa crypte la relique de la Vraie Croix qui fera naître un des pèlerinages les plus fréquentés en Europe. La visite guidée commence par l’abbatiale Notre-Dame et par sa crypte qui possède la double fonction de fondation et d’église basse. Elle est presque entièrement troglodyte, le transept et le déambulatoire desservent sept chapelles rayonnantes


et son chevet est à pans polygonaux.

Un plan incliné taillé à même la roche monte vers l’église abbatiale. La nef achevée en 1153 témoigne de l’architecture romane provençale à son apogée.

La chapelle Notre-Dame-la-Blanche conserve deux enfeux.

Le cloître est en pleine restauration, mais les deux galeries ouvertes nous dévoilent toute la richesse des décorations des piliers à cannelures et des chapiteaux romans.
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